Paris : Mauvaise surprise pour les républicains et leurs candidates aux législatives [Mise-à-jour, 17 avril 2017]

Le Parisien / Lundi 10 avril 2017

Mauvaise surprise pour la candidate (Les Républicains) aux législatives sur la 17e circonscription de Paris (à cheval sur le XVIIIe et le XIXe arrondissement), Babette de Rozières. Dans la nuit de dimanche à lundi, sa permanence du 73, rue Pajol (XVIIIe) a été recouverte de graffitis. Les inscriptions «Fillon, rends l’argent. Boycott 2017» ont été tracés en grandes lettres rouges sur le rideau de fer aux côtés de faucilles et de marteaux, symboles du communisme. Le local devait malgré tout être inauguré ce lundi soir en présence de la présidente LR de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, assemblée dans laquelle Babette de Rozières, chef cuisinier et animatrice télé, est élue depuis 2015.

Une plainte contre X a été déposée par la candidate qui a dénoncé «un acte indigne et antidémocratique». Adjoint (PC) au logement d’Anne Hidalgo et candidat sur la 17e circonscription, Ian Brossat a condamné sur Twitter un «acte stupide». «La droite filloniste, c’est dans les urnes qu’il faut la combattre» a-t-il ajouté.


Valeurs Actuelles / Lundi 17 avril 2017

Dans la nuit de samedi 15 à dimanche 16 avril, les locaux de permanence de deux candidates parisiennes des Républicains aux législatives ont été tagués. Les mots sont aussi violents que les actes en eux-mêmes. Dimanche 16 avril, Babette de Rozières et Sandrine Richard, candidates LR aux législatives respectivement sur la 17e et 10e circonscriptions de Paris, ont découvert plusieurs graffitis injurieux recouvrant leurs locaux de campagne, selon Le Parisien.

Pour la première nommée, dont la permanence avait déjà été vandalisée dans la nuit du dimanche 9 au lundi 10 avril, ce sont des dessins de faucilles et de marteaux qui ont cette fois été apposés au bâtiment. Pour ce qui est de Sandrine Richard, les inscriptions sont plus violentes encore de par leur sens même, puisque son local a été tagué des mots “misogyne”, “homophobe”, ou encore “facho”. À la suite de ces actes de vandalisme, les deux femmes ont porté plainte, même si Le Parisien rapportait ce lundi 17 avril que les auteurs des dégradations n’ont pas été identifiés.

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