Contra Info / mercredi 3 avril 2019
Comme disent justement des compas depuis la France*, des voitures en brûlent toutes les nuits, mais cette fois-ci, mercredi 13 mars, vers 2h, ça a été le tour d’une voiture sérigraphiée de la police de la ville de Buenos Aires, qui dormait dans l’ombre devant le 1950, rue Teodoro Vilardebo.
La police est toujours dans le collimateur des bombes qui essayent de détruire l’État.
Vive le chaos
* NdAtt., 7 avril : Un clin d’œil peut-être aussi à cette attaque, qu’on avait oublié