Paris-Luttes.info / jeudi 29 octobre 2015
Dans la nuit du 25 au 26 octobre, un an après le meurtre de Rémi Fraisse, les murs de la FNSEA à Paris ont été tagués de l’inscription « Ni oubli Ni pardon ».
Le syndicat FNSEA, petit frère du pouvoir depuis des décennies, soutient l’agriculture intensive et productiviste qui fait de ce monde un désert. Ces militants-miliciens se sont rendus coupables, en mars dernier, du siège de la ZAD du Testet, où Rémi Fraisse a été tué. Tous les complices de l’État policier devrons nous compter parmi leurs ennemis.