reçu par mail / mercredi 27 mars 2019
S. est en taule depuis un an. Il est accusé de l’incendie de plusieurs véhicules de la gendarmerie, à Limoges le 18 septembre 2017, pendant le procès Quai de Valmy.
Nous sommes parmi celles et ceux qui ne sont pas rester en silence face à cette affaire répressive. Aujourd’hui nous n’abandonnerons pas un compagnon qui est dans les mains de l’état.
Comme petit geste de solidarité avec lui la nuit du 26 mars on a mis le feu à deux camionettes et une voiture de la Mairie de Paris, rue Corvisart (13ème).
Parce que toute structure de l’état doit être détruite, que ce soit une caserne ou une école, une prison ou une CAF, une centrale nucléaire ou un hôpital, une voiture des flics ou de la Mairie, pour créer la possibilité de la liberté pour chacun.e
Solidarité aussi avec les compagnon.ne.s sous procès en Italie pour l’opération Scripta Manent (et celleux qui font face aux autres opérations répressive).
Liberté pour tous et toutes !
Vive l’anarchie !