Indymedia Nantes / Samedi 24 février 2018
Jeudi 22 février, à l’aube, l’état décide de montrer les muscles et de déloger les dizaines de hiboux qui ont investit la forêt du bois Lejuc à Bure (Meuse). Après une « sortie de crise » pacifié sur la zad de Notre-Dame-Des-Landes pour le moins efficace ou les échos des chants de victoire résonnent encore, on envoie 500 gendarmes armées jusqu’au dents pour virer une poignée de personnes à l’autre bout de la France.
Afin de ne pas se laisser envahir par le sentiment d’impuissance que de tels matins apportent, nous nous voulions apporter un soutient concret aux compagnon.ne.s là-haut.
Ainsi durant la nuit quelques vitres d’Enedis (qui distribue l’énergie nucléaire dans toute la France et au-delà) sont parties en éclat, a Toulouse. Nous avons laissé notre rage exploser et une dizaine de cailloux a volé à travers leur vitres. Un peu de peinture est aussi venu égayer leur mornes façades.
Pour un monde sans radiations
Dans le bois ou ailleurs on se tcheck le 3 et 4 mars.