Brughiere / mercredi 12 novembre 2025
Ces derniers temps, on a vu augmenter l’utilisation de logiciels espions contre des politiciens, des entreprises, des avocats et des activistes. Nous avons des raisons de croire que de tels dispositifs sont en train de se répandre aussi lors d’enquêtes menées contre des individus associés à des secteurs précis du mouvement. Probablement, il est de plus en plus facile pour les parquets de faire appel à des start-up, afin se doter de logiciels, pas forcement sophistiqués et coûteux comme les bien connus Pegasus, Predator, Graphite ou Triangulation (qui utilisent des code d’exploitation de type zero-day, avec fonctionnalité zero-click), mais qui font quand même leur travail de merde de collecte d’informations sur l’activité de quelque malheureux, sans son consentement.
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