Sud-Ouest / jeudi 2 janvier 2020
De la peinture sur le sol, les murs, les bureaux, les tableaux, les fenêtres, les ordinateurs ; du matériel informatique renversé ; des vols… Aucune salle de classe de l’école élémentaire Herriot n’a été épargnée. Lundi 30 décembre, l’établissement scolaire a été la cible d’importantes dégradations – « du vandalisme gratuit », se désole Sophie Cousty, adjointe au maire chargée des affaires scolaires -, à tel point qu’il sera fermé lundi 6 janvier. Seul un accueil minimal sera mis en place pour les enfants qui ne pourront pas être gardés par leurs parents.
Pour autant, ce n’est pas la première fois que l’école Herriot est le théâtre de ce type d’événements. La dernière fois c’était en septembre, tandis que l’école Libération a aussi connu le même sort l’an passé à plusieurs reprises.