Contra Info / dimanche 22 mars 2020
Dans la nuit du 14 mars, nous avons saboté avec de la peinture 29 parcmètres à travers la ville et nous avons repeint des murs. « Gabriel askatu » [« liberté pour Gabriel », en basque ; NdAtt.], « Liberté pour les anarchistes ». Il n’y a pas de répression qui puisse arrêter la solidarité.
Liberté pour Gabriel
Liberté pour les prisonnier.e.s anarchistes du monde entier.
Travailleurs de la nuit