IAATA.info / samedi 5 octobre 2016
Par ce texte nous revendiquons la destruction par la casse et le feu de six des caméras de surveillance la nuit du 4 octobre 2019 à Saint-Jean-du-Gard (Cévennes).
Parce que nous voulons pouvoir nous promener dans la rue librement sans se faire filmer, observer, ficher…
Parce que nous refusons de nous plier face à l’État et ses arguments sécuritaire et anti-terroriste qui justifient le contrôle et le fichage des individus.
Parce que notre soif de liberté nous enflamme.
Parce que le monde qu’ils veulent nous imposer nous enrage.
Pas de quartier pour tous leur outils de mort !