Sans Attendre Demain / lundi 29 octobre 2018
Vendredi 12 octobre vers 22h00, le mur d’enceinte de la maison de Denis Stolf, le maire de Tréveray [sa tête ci-contre; NdAtt.] et aussi président du Clis (comité local d’information net de suivi de Bure) a été tagué. Si sur la photo prise par l’Est Républicain on voit l’inscription « vendu », on remarque que l’autre tag « Mafi.. » n’a pas pu être terminé, et pour cause: un voisin vigilant, en bon citoyen zêlé, a vu le tagueur et l’a pris en chasse. Fort heureusement, notre justicier bénévole s’est fait semer par le vandale encapuchonné.
Le maire présume que c’est suite à la diffusion du reportage de FR3 vendredi soir, sur l’Assemblée générale du Clis, laquelle s’était déroulée la veille à Bure. L’article du journal se termine en ces mots, on ne peut plus clairs: « Probablement le geste d’un opposant au projet Cigéo. En avril, lors de l’assemblée générale du Clis à Joinville les principaux responsables des associations opposées à Cigéo (Eodra, Cedra…) avaient quitté la salle après 25 minutes d’échanges. »