Le Progrès / Mercredi 18 juillet 2018
Des claviers numériques ou tactiles endommagés, les panneaux solaires également… Au total, huit horodateurs, installés en particulier sur l’esplanade du cimetière, rue Tavernier et rue de l’Eternité, ont été visés et vandalisés. Non pas à l’aide de mousse polyuréthane expansive comme la fois précédente en janvier 2018 lors de leur installation mais, cette fois-ci, de façon plus radicale, certainement à coups de marteaux. Et qui les rendent inutilisables et inopérants pour s’acquitter du paiement de son stationnement.
Pour Charles Dallara, adjoint au maire et élu référent du quartier, « c’est clairement un acte de vandalisme délibéré et réfléchi qui vise directement la mise en stationnement payant. J’éprouve une grande colère face à ce geste que je déplore mais nous ne céderons pas devant ce genre de menace ou d’attitude. Nous avons décidé d’instaurer le stationnement payant sur ce secteur, c’est une décision clairement assumée et nous ne reviendrons pas dessus ». Une plainte a d’ores et déjà été déposée par la mairie.