IAATA / samedi 11 juin 2016
En une nuit, un tournevis a crevé les pneus de 4 véhicules de la mairie, d’un utilitaire vinci, de deux véhicules appartenant à des agences immobilières, d’un camion eiffage, de deux véhicules Orange, d’une voiture de la tnt et de nombreux vélibs. Il a aussi servi à rayer les carrosseries et à crever les pneus de plein de caisses de bourges. Des cailloux trouvés sur le chemin ont permis de défoncer les panneaux publicitaires croisés.
Tâcher de mettre fin au travail se traduit aussi par bloquer les travailleurs et travailleuses. On a ciblé en particulier des entreprises qui construisent des prisons, des aéroports, qui participent au contrôle par la technologie ou à l’embourgeoisement de la ville.
Notre rage ne se dégonfle pas, surtout quand des compagnon.ne.s ont été touché.e.s par la répression, arrếté.e.s, frappé.e.s ou incarcéré.e.s. Elle augmente chaque fois qu’ils tentent de nous intimider.
Soyons solidaires par l’attaque.
Soutien aux inculpé.e.s et aux incarcéré.e.s de la lutte contre le travail.