extrait de France Bleu / samedi 28 mai 2022
Dans son sillage, le « carnaval sauvage » des Lentillères de Dijon a laissé de drôles de traces. Deux jours après ce rassemblement de 400 personnes destiné à protester contre la « bétonisation » de la ville, le préfet s’indigne d’une floppée d’inscriptions sur les murs de la ville.
« Flic violeur assassin« , « Feu à Suquet » (le nom de la place où se situe le commissariat-NDLR), « Les prisons en feu, les matons au milieu » ou encore « 1 OPJ (officier de police judiciaire) 2 coups de fusil, un proc 3 coups de Glock (pistolet) »: au total 65 graffitis et inscriptions […].