athens.indymedia.org / vendredi 26 février 2021
Le régime de Néa Dimokratía ne semble pas hésiter à laisser que la grève de la faim de Dimitris Koufondinas aboutisse à sa mort. Une politique de règlement de comptes avec une période révolutionnaire du passé de la Grèce. Pendant la pandémie, le gouvernement de Mitsotákis saisit l’opportunité d’étouffer toute dissidence radicale dans les prisons et dans les rues.
Parce que nous ne pouvons pas juste rester les bras croisés et regarder, dans la nuit de jeudi 25 février, nous avons brisé des vitres du Consulat général et nous y avons également tagué la raison de notre visite.
Pour la satisfaction des requêtes de Dimitris Koufondinas – contre les assassinats dans les prisons et les camps grecs !
Anarchistes