IAATA / jeudi 10 décembre 2020
C’était samedi 26 septembre au matin, ça nous a fait du bien de croiser des mots de colère peints sur les murs autour du chateau de Florac, siège du Parc National des Cévennes.
C’était le week-end anniversaire des 50 ans du P.N.C, dans sa petite « capitale ».
Ils ont été effacés en urgence, pour les photos des cérémonies probablement.
Il n’en reste pas de traces, en voilà une.
On pouvait lire à peu près :
« LE PARC EST UN FLIC, POINT BARRE »
« BUREAUCRATES, POLITICIENS, LEUR ECOLOGIE SERT DE CAUTION À CE MONDE POURRI »
« CE QUE JE CROIS SAISIR JE LE BROIE. QUI SUIS-JE ?
UN TOURISTE, UN NATURALISTE, OU LES DEUX »
« PARC NATIONAL, MUSEE DU CAPITAL »