La Rebelión de las Palabras / jeudi 6 février 2020
Dans la nuit de mardi 3 février, on a « déjoué » la « sécurité » de l’entreprise de « sécurité » privée G4S [une des plus grandes entreprises de sécurité au monde, elle gère des prisons et des camps pour sans papiers, notamment au Royaume-Uni ; NdAtt.], et on a incendié un de ses véhicules, au carrefour des rues Cufré et Cagancha, en le détruisant complètement.
Peu importe le nombre de caméras qu’ils installent, ni qu’ils se croient en sécurité, ils n’arrêteront jamais la lutte !
Allumons la mèche de la résistance,
organise-toi avec tes affins.
Bêtes noires