reçu par mail / jeudi 9 mai 2019
Sans attendre les masses, sans attendre les rendez-vous rituels, sans attendre aucun mouvement ou lutte spécifique. Ce qui nous pousse est notre tension asociale individuelle.
Nous sommes conscient.e.s que nous sommes seulement des petites épines dans le pied du pouvoir. Mais nous avons de notre côté la dignité de celleux qui ne se rendent pas, malgré tout.
La nuit du 6 mai une voiture diplomatique a brûlé, rue du bois de Boulogne, dans le seizième arrondissement de Paname.
En solidarité avec les anarchistes condamné.e.s en Italie pour le procès Scripta Manent et tou.te.s les autres, partout dans le monde, de la Russie à l’Amérique Latine.
Un clin d’œil aux noctambules à briquet.
Vive l’anarchie !