reçu par mail / lundi 8 octobre 2018
» Pour l’État, la prison est un instrument capital pour maintenir à l’écart de cette société récalcitrants, rebelles,
incontrôlables et indésirables. C’est une punition infligée par l’État de droit, mais aussi un moyen de maintenir sous contrôle ces personnes qui refusent – par choix ou par nécessité – de respecter le pacte social qui consiste à accepter la misère, l’exploitation et les relations d’oppression qui en découlent. […] »
« […] L’attaque directe contre ce qui représente la prison et l’autorité nous permet de se sentir en vie, de nouer des complicités rebelles par-delà les murs, en communiquant par des gestes d’hostilité enflammées contre la prison, ses laquais et ses collaborateurs (architectes, fournisseurs divers, constructeurs, etc…). Chacune d’elle nous donne de l’espoir dans notre lutte pour en finir avec toutes les prisons. Alors à l’attaque ! »