La Dépêche / Mercredi 10 mai 2017
Une fois de plus, le mur du collège-lycée Saint-Joseph donnant sur le boulevard Gambetta a servi de «dazibao» à une expression nocturne. Après la série de tags prenant pour prétexte les troubles liés au barrage de Sivens, où le mur avait été tagué à plusieurs reprises, c’est l’élection présidentielle qui a donné matière à un nouveau vandalisme, sous couvert d’expression autogestionnaire. La municipalité se dit «excédée» par ces dégradations et trouve un prétexte supplémentaire à installer les caméras de surveillance. L’une d’entre elles balaiera d’ailleurs toute l’étendue du boulevard Gambetta.