Le Parisien / mardi 21 mars 2017
Dans la nuit de lundi à mardi, la mairie de Chantilly, la nouvelle crèche intercommunale et le bâtiment de la police municipale ont tous été dégradés. Des tags qui évoquent pêle-mêle l’affaire Théo, les réfugiés ou encore le Front national. Les caméras de vidéoprotection ont permis d’identifier une petite bande d’individus. Une équipe scientifique de la gendarmerie va effectuer des relevés sur place avant que les murs soient nettoyés. « Tout sera fait pour trouver les personnes qui ont effectué ces tags », assure Eric Woerth, le maire (LR). La peine pour un tag peut aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amendes dans les cas plus graves.