La Dépêche / jeudi 4 juin 2015
Un gang de destructeurs d’abribus sévit-il sur la voie du TOEC ? Depuis une dizaine de jours, les habitants du quartier observent des destructions régulières des abribus. Généralement, c’est la façade vitrée la plus large qui est détruite. Le délai de rénovation d’un abribus par la société JC Decaux étant d’un peu plus d’une semaine, depuis les premières dégradations, jamais tous les abribus n’ont été en état simultanément. «Visuellement, ça gêne ! Et ça se voit que les dégradations sont volontaires», explique Charlie, habitant du quartier et usager de la Ligne de bus 64, qui emprunte ce chemin.