Bite Back / mardi 14 juillet 2020
Il y a quelques nuits, nous nous sommes introduit.e.s dans un élevage de chèvres en Bretagne. Dans ce bâtiment il y en avait une centaine, toujours dans le noir et marchant dans leur merde.
Nous en avons libéré quatre, peut-être enceintes, et les avons amenées dans un sanctuaire antispéciste.
Elles étaient exploitées pour le lait, elles ont donc des pis énormes qui leur font mal et et elles doivent être traites, parce que leurs enfants leur ont été enlevés à partir de là pour être exploités aussi ou bien tués.
De plus, elles présentaient des plaies et peut-être des tumeurs.
Elles seront désormais libres de vivre par elles-mêmes et d’exprimer leur personnalité unique.
Les libérations massives changent tout pour certains individus donnés et peuvent avoir un impact économique.
Longue vie aux actions de libération et à l’action directe, mort aux fermes et à l’idéologie viandarde et spéciste