Dé-publié le 6 janvier, après avoir découvert une longue complainte sur le site de ce journal qui, du coup, ne peut pas être nommé ici.
Un texte tortueux, qui fait planer des accusations jamais précisées et auquel il est par définition impossible de contre-argumenter. Pas pour nier qu’à un moment il y a eu un comportement de merde (mais pas de calomnies, ça c’était et c’est du ressort de M.me Envol – un peu comme le texte sur le site du pavé), mais pour questionner, au delà de ça, le rôle (autoritaire) de qui parle de la vie des autres (justement pour dénigrer), par ailleurs avec des intérêts « de chapelle » trop évidents. Ce n’est pas un hasard si cette épisode pendant lequel je me suis mal comporté a beaucoup gagné en gravité après que j’ai mis un terme à la relation avec une personne qui avait tendance à considérer ses engagements comme inexistants.
Enfin, sans toge, mais quand-même, contre la Gauche et sa morale, mais au fond… Ça serait ça l’anarchie ?
Le choix de publier ou pas un texte sur Attaque dépend, incroyable !, du contenu plus que de l’identité supposée de l’auteur.e (inconnue, dans le cas spécifique, jusqu’à il y a trois heures). Un contenu un tant soit peu conflictuel avec les misères de ce monde, même si ça vole pas trop haut, dans une époque où la réflexion en langue française se résume souvent à des variations sur la météorologie.
D’ailleurs M.me En Vol se méprend à propos de l’anonymat. Au delà de l’ évidente nécessité de circonspection, l’ « anonymat » comme stratégie politique d’appropriation, mine de rien, de tout et de son contraire, ce n’est pas de ce côté-ci. M.me Lent Vol devrait regarder plutôt du côté de ses maîtres à penser(?).
Soit dit en passant, faut être franchement de mauvaise fois pour qualifier de « paternaliste » l’effort de relayer informations et réflexions. Mais internet n’est heureusement rien d’autre qu’une partie de la vie des gens. Par ailleurs, on peut aussi discuter de la vraie vie dans la vraie vie. (Par rapport à la menace sous-tendue en parlant des « brèves », par contre, que l’on se mette sur la liste et que l’on attende son tour, il y a du monde qui a menacé bien avant !)
Bref, après tout Attaque peut faire sa route et L’envol une autre, les personnes aussi. Le monde est grand. Bonne route, donc. Ou bon envol (mais il faudrait quand même revenir avec ses pieds par terre, parfois)
Vive l’anarchie (sans guillemets et sans suffixes/spécifications) !
Un d’Attaque