Besançon : Ni église ni État !

L’Est Républicain / lundi 18 février 2019

« Ni église ni État » ou encore « L’autorité c’est le viol ». Voilà les écriteaux que les habitants du secteur ont découverts sur les murs de l’église Saint-Joseph, samedi. Des inscriptions faites en lettres capitales et à la bombe de peinture noire, de chaque côté de l’édifice. « Les faits se sont sûrement déroulés dans la nuit puisqu’on les a découverts au petit matin », confie une paroissienne du quartier. […]


Ce n’est pas la première fois que le bâtiment est victime de d’actes de vandalisme. En 2017 déjà, dans la nuit du 17 au 18 mai les murs de l’église avaient été recouverts par des inscriptions « À bas la charité, vive la solidarité. »

[photos toujours depuis L’Est Républicain  / samedi 20 mai 2017]

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Mais les jolies nouvelles continuent… la croix a changé de forme !

L’Est Républicain / lundi 18 février 2019

Dans la montagne qui domine le village de Deluz, une branche de la croix a été sciée.
Une équipe de bénévoles va se charger de réparer ce que d’autres ont brisé. Sylvaine Barassi, maire de la commune, a d’ores et déjà déposé plainte auprès de la gendarmerie, qui a ouvert une enquête. La première croix de Deluz a été installée en 1934 sous l’impulsion de l’abbé Bello. Une seconde croix a remplacé la précédente, le 9 juin 1984, veille de Pentecôte. Pour mémoire, elle avait été installée par l’abbé Eblin, avec l’aide de douze paroissiens.

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